MES CABARETS DE LIBERTE
FANTOMES DE CABARET
Fantômes de cabaret
Eternelle jeunesse
J’en avais tant rêvé
De ces nuits sans retour
Vous étiez des diamants
Au cou de mes maîtresses
Mes chansons mes bijoux
Mes cordes mes désamours
Je fermais mes blessures
Sur ces cordes ouvertes
Ma guitare arpégeait
Des accords désunis
Un instant de bonheur
Sur vos lèvres offertes
La chanson a ses îles
Désespérées de pluie
C’étaient de ces nuits froides
Au creux de vos hivers
J’allais fondre la neige
Et risquer mes vingt ans
Mais dans ces cabarets
Je me l’étais permise
Cette faute de goût
Cet instant de remords
J’avais envie de tout
Et je me devais être
Ce chanteur éconduit
Par la femme d’un soir
(en spectacle à Hennebont avec Dom Le Guichaoua et Didier Riou)
Fantômes de cabaret
Eternelle jeunesse
J’en avais tant rêvé
De ces nuits sans retour
Vous étiez des diamants
Au cou de mes maîtresses
Mes chansons mes bijoux
Mes cordes mes désamours
Je fermais mes blessures
Sur ces cordes ouvertes
Ma guitare arpégeait
Des accords désunis
Un instant de bonheur
Sur vos lèvres offertes
La chanson a ses îles
Désespérées de pluie
C’étaient de ces nuits froides
Au creux de vos hivers
J’allais fondre la neige
Et risquer mes vingt ans
Mais dans ces cabarets
Je me l’étais permise
Cette faute de goût
Cet instant de remords
J’avais envie de tout
Et je me devais être
Ce chanteur éconduit
Par la femme d’un soir
(en spectacle à Hennebont avec Dom Le Guichaoua et Didier Riou)
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